Une nouvelle étape dans la politique pénitentiaire française se dessine, avec Gérald Darmanin en première ligne. Le ministre de la Justice prévoit la construction de 00 places de prisons modulaires pour faire face à la surpopulation carcérale, qui dépasse aujourd’hui 00 détenus pour environ 00 places. Ces prisons, moins coûteuses et rapides à construire, pourraient réduire le coût d’une place de prison de 00 à 20 00 euros, selon Darmanin.
Parallèlement, Sébastien Cauwel, directeur de l’administration pénitentiaire, a évoqué récemment à Tarascon un lien étonnant entre les attaques en prison et la loi sur le narcotrafic, soulignant la nécessité de renforcer la sécurité. Il a également insisté sur la prévention des violences et la lutte contre la radicalisation dans ces établissements.
Les projets de Darmanin s’inscrivent dans une stratégie plus large, notamment la création de prisons de haute sécurité, dont l’ouverture est prévue pour fin juillet à Vendin-le-Vieil, pour y détenir plus de narcotrafiquants particulièrement dangereux. La tension monte autour de la réforme pénitentiaire, avec une attention particulière portée à la sécurité et à la gestion des détenus à Tarascon, où les enjeux locaux rencontrent les ambitions nationales.
