Le concours Miss France 2026 a été marqué par une controverse majeure impliquant Miss Aquitaine et Miss Provence, dont les propos insultants ont été révélés dans une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux. Cette affaire a suscité une intense réaction du public et des médias, remettant en question l'image de ces candidates et l'organisation du concours.
Le 7 décembre 2025, une vidéo privée de Miss Aquitaine, Aïnhoa Lahitete, et Miss Provence, Julie Zitouni, a été mise en ligne, révélant des insultes virulentes à l'égard des autres candidates, notamment les 12 finalistes du concours. Les deux miss régionales, éliminées de la compétition, n'ont pas mâché leurs mots pour critiquer leurs concurrentes, allant jusqu'à utiliser des termes extrêmement offensants.
La diffusion de cette vidéo a immédiatement provoqué une vague de réactions sur les réseaux sociaux, où les internautes ont exprimé leur indignation face à ces propos dégradants. Cette polémique a rapidement pris de l'ampleur, interrogeant sur le comportement des candidates et la supervision des organisateurs.
Face à la controverse, Miss Provence a tenté de se défendre, affirmant qu'elle n'était pas au courant de la diffusion de cette vidéo. De son côté, Miss Aquitaine a également exprimé ses regrets, tout en minimisant la portée de ses propos. Les deux candidates ont fini par présenter leurs excuses publiques, reconnaissant l'inapproprié de leurs commentaires.
Les comités régionaux de Miss Provence et Miss Aquitaine ont également réagi, condamnant fermement les propos de leurs candidates et rappelant que de tels comportements ne sont pas acceptables. Cette situation a soulevé des questions sur la sélection des candidates et la gestion des coulisses par l'organisation de Miss France.
La polémique autour de Miss Aquitaine et Miss Provence a mis en lumière les pressions et les tensions auxquelles sont confrontées les candidates de ces concours. Elle a également illustré l'impact des réseaux sociaux sur la diffusion de contenus controversés, soulignant la nécessité d'une meilleure supervision et d'une plus grande vigilance de la part des organisateurs.
Cette affaire a surtout montré que, derrière le glamour et la beauté des concours de Miss, se cachent parfois des réalités beaucoup plus sombres et humaines.