Dans l'actualité des médias, Alix Bouilhaguet, éditorialiste politique bien connue de France TV et France Télévisions, fait parler d'elle suite à une bourde récente. Lors d'une intervention matinale, la journaliste a émis des propos sur le maire élu de New York qui se sont avérés inexacts, provoquant une réaction rapide des groupes audiovis publics.
Radio France et France Télévisions ont publié un communiqué conjoint pour rectifier ces affirmations, qualifiées de "factuellement fausses". Bouilhaguet, qui anime régulièrement des chroniques à 6h sur France 2 et de 6h30 à 8h30 sur France Info, avec une interview phare à 7h45, a ainsi vu son intervention scrutée de près. Cette correction intervient dans un contexte où l'exactitude des informations est plus que jamais primordiale, surtout sur des sujets internationaux comme les élections américaines.
Avec plus de 500 connexions professionnelles sur LinkedIn et une présence active sur les réseaux sociaux, Alix Bouilhaguet reste une figure clé de l'antenne. Mais cet incident rappelle les défis du direct : un mot de travers peut vite déraper. Les deux entités ont réaffirmé leur engagement pour la véracité, sans pour autant entrer dans les détails de l'erreur – qui portait sur des aspects biographiques du nouveau maire.
En 2025, alors que les audiences de France Télévisions flirtent avec les 20% de part de marché en prime time, ces ajustements soulignent la pression sur les équipes éditoriales. Faut-il y voir un signe des tensions croissantes dans le paysage médiatique français ?
