Ce dimanche 5 octobre, Lyon s'est réveillée sous un ciel clément pour accueillir la quinzième édition du Run in Lyon, un événement qui bat tous les records cette année. Avec 33 000 participants inscrits, l'affluence a explosé de 6,5 % par rapport à l'édition précédente, confirmant l'attrait grandissant de cette course urbaine pour les amateurs de running. Dès 8h30, le départ a été donné quai Romain Rolland, devant la Cour d'Appel, pour le marathon et le semi-marathon, tandis que le 10 km suivait à 11h30. L'arrivée, place Bellecour, promettait un spectacle festif, comme en témoigne la vague rose des coureurs – une marée humaine colorée qui a déferlé à travers la presqu'île.
En effet, l'organisation by Harmonie Mutuelle a mis les petits plats dans les grands : un village installé dès vendredi sur la place Bellecour, des parcours emblématiques serpentant au cœur de la ville historique, et même un suivi en temps réel pour les semi et marathon via le Live Tracking Hyundai. De plus, pour ceux qui préfèrent l'effort collectif, le relais offrait une alternative conviviale sur 42 km. Toutefois, malgré cette effervescence, quelques coureurs ont pu regretter les ajustements de dernière minute pour fluidifier les départs massifs. Les performances s'annoncent déjà solides ; les premiers retours parlent d'un chrono rapide pour les élites, avec une ambiance qui transcende les simples chronomètres.
Parmi les figures notables, des personnalités locales ont pris le départ, ajoutant une touche de glamour à l'événement. En effet, le marathon de Lyon n'est pas qu'une course : c'est un rituel annuel qui unit la cité des Gones autour du sport. De plus, avec des inscriptions en hausse constante, on mesure l'impact de ces manifestations sur la vitalité du running français. Les résultats complets devraient affluer dans les heures à venir, mais une chose est sûre : cette édition 2025 aura marqué les esprits par son échelle inédite.
Au final, au-delà des médailles et des temps, le Run in Lyon interroge sur la place croissante de ces événements dans nos villes, où le sport devient vecteur de cohésion sociale.
