Le circuit de Marina Bay s'illumine une fois de plus pour le Grand Prix de Singapour, dix-huitième manche de la saison de Formule 1. Ce week-end du 3 au 5 octobre, sous les projecteurs nocturnes, les pilotes se battent pour des points cruciaux dans une course au titre serrée. Max Verstappen, après deux victoires consécutives, arrive en pleine confiance, mais les McLaren de Lando Norris et Oscar Piastri ne lâchent rien. En effet, la lutte pour le championnat s'intensifie, et Singapour, avec son tracé urbain sinueux, promet des surprises.
Les qualifications ont eu lieu ce samedi 4 octobre, à partir de 15 heures heure française, une séance attendue avec impatience par les fans. Diffusée en direct sur Canal+ en France, elle a vu les teams ajuster leurs stratégies face à la chaleur humide et aux possibles averses. De plus, le programme du week-end inclut des essais libres vendredi et samedi matin, avant cette phase décisive qui détermine la grille de départ pour la course de dimanche. Toute cette organisation, typique des GP asiatiques, met en lumière les défis logistiques de la F1 en 2025.
Mais au-delà des horaires, c'est l'ambiance qui captive : le bruit des moteurs résonnant contre les buildings, les feux d'artifice post-course. La pole position pourrait bien changer la donne pour Verstappen, qui vise une troisième victoire d'affilée ici. Toutefois, Ferrari et Mercedes guettent la moindre erreur, avec Charles Leclerc souvent à l'aise sur ce circuit. Les dernières nouvelles parlent d'une FIA en alerte pour la météo, ce qui ajoute du piment à l'événement. En effet, une piste glissante pourrait redistribuer les cartes.
Ce GP de Singapour rappelle combien la Formule 1 reste un sport imprévisible, où la technique rencontre le spectacle pur. Et si cette édition marquait un tournant dans la saison ?