Jannik Sinner, actuel numéro mondial du tennis, a récemment fait parler de lui bien au-delà des courts. L’Italien, originaire du Tyrol du Sud (province autonome du nord de l’Italie, région à forte identité germanophone), est né le août 2001 à San Candido. Son parcours est marqué par une ascension fulgurante, mais aussi par des polémiques récentes autour du dopage.
En mars 2024, Sinner a été contrôlé positif au clostébol, un anabolisant interdit, à l’occasion de deux tests réalisés lors du tournoi d’Indian Wells. Il a expliqué avoir été contaminé accidentellement par un produit utilisé par son physiothérapeute, qui soignait une coupure à la main avec un spray contenant la substance incriminée Après un accord avec l’Agence mondiale antidopage (AMA), il a été suspendu trois mois, du février au mai 2025, mais a pu reprendre la compétition dès la fin de sa peine. L’AMA a confirmé qu’il n’avait pas cherché à tricher et qu’il n’avait tiré aucun avantage sportif du produit.
Sur le plan personnel, Sinner reste discret. Aucune information officielle ne confirme une relation actuelle ou une épouse, et il n’a pas fait de déclaration publique concernant sa vie privée. La « femme Sinner » fait donc partie des rumeurs qui circulent autour du champion, sans fondement avéré pour l’instant.
Le joueur, malgré la tempête médiatique, continue de s’imposer comme l’un des leaders incontestés du circuit ATP, portant haut les couleurs d’une Italie sportive en pleine renaissance.
