L’affaire secoue le monde du football brésilien et français : Dimitri Payet, joueur du Vasco de Gama, est accusé par l’avocate brésilienne Larissa Ferrari de violences physiques, psychologiques et sexuelles. Selon les plaintes déposées, la relation, entamée en août 202, aurait rapidement basculé dans un climat « abusif et toxique » Ferrari affirme avoir subi humiliations et chantages, évoquant notamment des pratiques sexuelles extrêmes imposées par le joueur.
Face à la police, Payet a reconnu l’existence de cette liaison extra-conjugale et a confirmé la nature sadomasochiste de leur relation, précisant que les pratiques étaient consenties et souvent initiées par Ferrari elle-même Il décrit des échanges où l’avocate lui aurait demandé de lui uriner dessus, d’adopter des comportements humiliants, et même de porter une robe de mariée lors de leurs rapports Payet nie toute forme de violence non consentie, expliquant que les traces évoquées par Ferrari résultaient de jeux sexuels acceptés par les deux parties
Le club de Vasco de Gama, pour l’instant, attend les conclusions de l’enquête. Larissa Ferrari, de son côté, maintient ses accusations et affirme vouloir « rechercher la justice » malgré la notoriété de Payet
L’affaire, loin d’être close, soulève de nombreuses questions sur la frontière du consentement et la gestion de l’intimité dans la sphère publique.
